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Vie à l'EEB

Entrer dans la magie EEB

Je n’avais jamais vu ça.

Elle parlait de sa job et avait des étoiles dans les yeux.

Elle faisait rêver.

J’étais sans mots devant son discours.

Qui a les yeux pétillants en parlant de son employeur?!

C’était étonnant. C’est à ce moment même que j’ai su qu’il y avait quelque chose de magique dans cette entreprise.

Quelque chose que j’aurais tout donné pour vivre, moi aussi.

– – –

Cette personne, c’est Valérie Lesage.

Elle travaille pour l’EEB, tout comme moi, depuis quelques semaines maintenant. Pour elle c’est un retour, pour moi c’est un début.

Mon titre officiel, c’est: Coordonnatrice marketing numérique et communauté.

J’ai toujours eu de la misère à dire que j’étais une fille de marketing.

Pour la moitié des gens, le détecteur à bullshit se met automatiquement en marche.

Bon, kessé qu’a va essayer de me vendre?

Pour l’autre moitié, c’est la confusion totale.

Fak, tu fais quoi au juste?

– – –

J’ai compris pourquoi Valérie avait des étoiles dans les yeux. Je l’ai compris dès la minute où j’ai mis les pieds dans cette École, où j’ai rencontré les autres joueurs d’équipe.

Tous ceux qui sont passés par l’EEB le disent: c’est pas une école comme les autres. Ça ne s’explique pas.

La mission, les valeurs, la communauté… Chaque humain qui compose cette école, que j’ai aujourd’hui la chance de côtoyer, est absolument incroyable.

– – –

Fak, tu fais quoi au juste? Tu posts sur Facebook, c’est ça?

Entre autres, oui.

Mais surtout, je raconte des histoires. Et je réfléchis aux meilleurs moyens pour mettre de l’avant ce qui mérite d’être connu.

Je crois fermement que chacun d’entre nous a un rôle important à jouer pour façonner le monde de demain.

Et, ma contribution, en tant que fille de marketing, c’est beaucoup plus qu’une course folle aux likes et aux followers.

Combien de fois je me fais demander: «As-tu des trucs pour avoir plus de like? Je veux acheter des followers pour en avoir plus, j’ai pas l’air assez big.»

J’ai mal au coeur.

Le but, c’est pas que tout le monde s’intéresse à ton produit/service. C’est pas de manipuler le message pour plaire au plus de gens possible.

Ton rôle, c’est de savoir exactement qui tu es et à qui tu t’adresses. Je te promets que t’auras pas à te soucier des likes et des followers si tu as ces 2 réponses.

Ton produit/service n’est pas pour tout le monde et c’est la même chose sur les médias sociaux.

Parle aux bonnes personnes, raconte des histoires et sois vrai.

Tu sais, mettre la contribution avant les profits est, encore aujourd’hui, une stratégie très sous-estimée…

– – –

Cette école est magique. Ça ne s’explique pas. Tu dois le vivre pour comprendre.

Pour ceux qui ne l’ont pas vécu, c’est bien difficile à saisir. Je suis bien d’accord.

Mon rôle sera de te faire parvenir un peu de la magie qui se trouve à l’intérieur de ces 4 murs.

En mettant de à l’avant-plan les humains qui composent cette école. En parlant des succès et des échecs de notre communauté. En discutant avec ceux qui ont un impact positif sur leurs employés et sur la société.

Je vais aussi te partager mon évolution, en toute transparence.

Je n’ai pas de background en entrepreneuriat. Je n’ai jamais eu d’entreprise.

Quoi qu’au primaire – financée par ma mère – je vendais des colliers et des boucles d’oreilles. J’ai déjà vendu des graines de tournesol, volées dans le jardin du voisin, aussi.

20 ans plus tard, je vis avec un entrepreneur (et c’est bien en masse ahah!). Le monde entrepreneurial me passionne. Et je compte te partager mes apprentissages, depuis l’École jusqu’aux conversations avec nos entrepreneurs.

J’espère que tu seras inspiré au travers du contenu que je crée et contribueras, à ta façon, à rendre meilleur le monde de demain.

5 choses à savoir (ou non) sur moi:

  1. J’écris d’un langage familier, c’est voulu. C’est plus humain et vrai.
  2. J’écris souvent au «tu», ça crée une belle proximité avec les lecteurs. On est assez loin de même!
  3. Je me fais encore carter à la SAQ. J’approche la trentaine.
  4. Je suis en télétravail pour l’EEB, mais j’y vais physiquement 1 à 2 journées par semaine. C’est trop l’fun!
  5. J’habite au Mont-Sainte-Anne, j’aime jouer dehors, je fais du vélo de montagne et du snowboard.